Feedback 5

PODCAST: Feedback de 5 participant.e.s – Partie 1

Journée Agile 2023 – Feedback – Partie 1

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Bienvenue dans ce nouvel épisode de « Pyxis – Le Podcast » dédié à la Journée Agile du vendredi 2 juin 2023 ! Aujourd’hui, nous vous présentons la première partie de nos interviews exclusives avec les participant.e.s de cette journée mémorable. Regroupés en deux capsules podcasts, vous découvrirez dans cette première partie cinq témoignages, feedback, inspirants et enrichissants.

Dans un souci de promouvoir une culture du feedback, nous avons invité les participant.e.s à partager leurs expériences, nos points forts et les axes d’amélioration, ainsi que leurs messages pour nos auditeurs.

Nous avons également abordé la maturité agile de leurs entreprises respectives et son impact sur leur quotidien.

Nous sommes fiers de vous présenter les intervenant.e.s qui ont relevé ce défi avec brio, en faisant preuve d’honnêteté, d’authenticité et d’un réel désir de partage :

Nous vous encourageons également à participer à cette culture du feedback en laissant un message vocal. Voici le lien vers notre boîte vocale où vous pourrez partager vos réflexions et poser vos questions.

Certains messages pourraient même être sélectionnés pour être diffusés sur nos réseaux sociaux, alors n’hésitez pas à vous exprimer !

Restez à l’écoute de la seconde partie de ces témoignages, qui sera bientôt disponible.

Une fois cette deuxième capsule en ligne, nous organiserons un tirage au sort parmi les participants pour offrir un cadeau spécial. De plus, une autre surprise attendra une personne qui laissera un message vocal autorisant sa publication sur les réseaux sociaux.

Écoutez attentivement cet épisode pour connaître les modalités de participation.

Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude envers tous nos participant.e.s pour leur contribution généreuse à cet épisode et à la Journée Agile.

Leurs expériences et leurs idées précieuses sont une source d’inspiration pour toute la communauté agile.

Merci de nous suivre et de nous accompagner dans cette aventure agile.
Restez à l’écoute pour les prochains épisodes passionnants !

Et n’oubliez pas de vous abonner à « Pyxis – Le Podcast » sur votre application préférée.

Afficher (ou télécharger : click droit télécharger le fichier lié) la transcription du podcast
sans les times codes pour les assistants de lecture.

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Séquençage du podcast:

Andréa : 

  • 00:17 Introduction et présentation d’Andréa Goldstein
  • 00:33 Première visite ?
  • 00:37 Nos points forts et les choses que vous pensez qu’il faut améliorer ?
  • 04:07 Quel est le moment qui vous a le plus touchée ?
  • 05:59 Le niveau de maturité de votre entreprise par rapport à l’agilité ?
  • 07:06 Message pour motiver les auditeurices à venir l’année prochaine ?
  • 07:25 Clôture de l’interview

Aurore : 

  • 08:51 Présentation d’Aurore
  • 09:13 Première visite ?
  • 09:22 Nos points forts et les choses que vous pensez qu’il faut améliorer ?
  • 10:12 Des choses qui t’ont plus gênée ?
  • 11:07 Message pour motiver les auditeurices à venir l’année prochaine ?
  • 11:44 Le niveau de maturité de votre entreprise par rapport à l’agilité ?
  • 12:48 Un site internet ?
  • 13:11 Clôture de l’interview

Yvain : 

  • 13:39 Présentation d’Yvain et motivation à venir à la Journée Agile ?
  • 14:32 Première visite ?
  • 14:41 Ton expérience de la journée…
  • 16:53 Si on devait améliorer des choses ?
  • 17:56 Est-ce que tu as appris quelque chose ?
  • 19:13 Est-ce qu’il y a d’autres intervenants qui t’ont marqué ?
  • 19:37 C’est difficile de donner un feedback ?
  • 22:34 Message pour motiver les auditeurices à venir l’année prochaine ?
  • 22:53 Clôture de l’interview

Jean-Michel : 

  • 23:03 Présentation de Jean-Michel
  • 24:16 Le niveau de maturité de votre entreprise par rapport à l’agilité ?
  • 25:31 Première visite ?
  • 26:01 Un bilan de la journée positif ?
  • 26:14 Des points à améliorer ?
  • 27:03 Vous reviendrez à cette journée agile ?
  • 27:16 Message pour motiver les auditeurices à venir l’année prochaine ?
  • 27:35 Avez-vous une culture de la ludothèque ?
  • 28:16 Un site internet ?
  • 28:53 Clôture de l’interview

Jean-Noël : 

  • 29:20 Première visite ?
  • 29:38 Le niveau de maturité de votre entreprise par rapport à l’agilité ?
  • 30:00 Qu’est-ce qui vous a motivé à venir, revenir à ces Journées Agiles ?
  • 30:13 Nos points forts et les choses que vous pensez qu’il faut améliorer ?
  • 31:04 Un atelier qui t’a touché en particulier ?
  • 31:48 Est-ce qu’il y a d’autres ateliers qui t’ont aussi marqué ?
  • 32:41 Message pour motiver les auditeurices à venir l’année prochaine ?
  • 33:12 Tu vas revenir alors ?
  • 33:18 Clôture de l’interview

Transcription du podcast avec les feedback des participant.e.s:

(En format vidéo, les hyperliens vous dirigent sur notre chaîne Youtube)

Michel Godart: [00:00:17] Bienvenue pour un nouvel épisode « Pyxis – Le podcast », on est ici dans une interview, non pas avec un intervenant, mais avec le public… J’ai été donc un peu prôner dans le public ce gentil message d’invitation à un feedback? Andréa vous travaillez pour quelle société?

Andréa Goldstein: [00:00:29] Je travaille pour l’administration, pour le service des pensions belges.

Michel Godart: [00:00:33] Alors, c’est la première fois que vous venez?

Andréa Goldstein: [00:00:34] Non, moi je suis venu l’année, oui c’était l’année passée je pense.

Michel Godart: [00:00:37] C’est la deuxième fois que vous venez à la journée Agile. Alors ma première question, c’est quel est votre vécu par rapport à ces journées, quelles sont les choses que vous avez appréciez et quelles sont les choses que vous pensez qu’il faut améliorer? Puisque c’est la deuxième venue, je crois que vous avez un peu de recul pour parler.

Andréa Goldstein: [00:00:49] En tout cas ce que j’apprécie beaucoup, qui parle pour moi dans le cas de ce que je fais au service des pensions, enfin je travaille dans l’équipe « BI » ce qui est déjà un peu particulier parce que ce n’est pas une équipe, c’est IT mais c’est un peu…

Michel Godart: [00:00:59] C’est la gestion des data.

Andréa Goldstein: [00:01:00] C’est la gestion des données et on a plusieurs casquettes. Et on s’occupe de plusieurs choses en même temps: on fait un peu d’analyse, on fait un peu de développement.

Michel Godart: [00:01:07] Comme souvent dans ce cas-là.

Andréa Goldstein: [00:01:08] Un peu de test et, entre autres, moi j’ai un rôle aussi de « Scrum Master », entre guillemets, mais Scrum Master à notre façon puisque l’agilité on peut aussi un peu adapter. Et on est deux en fait, on a décidé d’être deux pour pouvoir continuer à faire un peu de développement. Donc dans le cadre de cette casquette de « Scrum Master », on s’est intéressé aussi à comment évoluer dans l’agilité parce que c’est quelque chose qui, au départ, nous a été entre guillemets un peu imposée. Mais bon, en IT on était déjà tous un peu là-dedans. Et à part ça, moi je découvrais aussi le monde de l’IT parce qu’avant ça j’étais plutôt en biologie donc moi je… Donc c’est quand même un (Michel: Un revirement professionnel) un peu différent, bien que c’était beaucoup de la recherche où il y a déjà un peu de l’auto-organisation, autogestion. Mais, là c’était vraiment aussi pour gérer une équipe, parce que c’est différent de se gérer soi-même pour son travail que de gérer aussi une équipe. Et donc ce que j’aimais beaucoup en tout cas dans l’année passée et que je retrouve quand même ici, un petit peu moins j’ai l’impression cette année mais c’est peut-être aussi parce que je ne sais pas s’il y a moins de présentation que l’année passée, mais c’est ce côté où les gens partagent vraiment leur expérience et il y a vraiment quelque chose d’interactif qui me plaît beaucoup (Michel: D’accord). Et je trouve ça vraiment intéressant parce que c’est vraiment une question d’expérience, je me rends compte, parce qu’on a beau avoir des règles ou même un concept bien établi (Michel: Ou un canevas de travail) voilà, au final, dans la réalité, c’est toujours un peu différent, c’est toujours plus compliqué, ça dépend avec les gens avec qui on interagit. Et j’ai beaucoup aimé ce côté expérience professionnelle mais personnelle. Et je trouvais les gens sont hyper motivés et hyper content d’être là… Et rien que ça, il y a toujours une énergie… (Michel: Ouais, je vois les yeux qui brillent…). Non mais il y a vraiment une chouette énergie je trouve dans cette journée en fait! Voilà.

Michel Godart: [00:02:45] Et vous dites cette année peut-être un peu moins parce qu’il y a eu plus de théories données sur certains intervenants?

Andréa Goldstein: [00:02:50] Je ne sais pas, peut-être je me trompe (Michel: je ne sais pas à quel atelier vous avez assisté), j’avais l’impression qu’il y avait plus de petites… Parce que là c’est, j’ai l’impression mais c’est peut-être qu’une impression, qu’il y a beaucoup de temps entre chaque (Michel: Les échanges de salles, ouais), voilà pour les échanges de salle et je crois que, j’ai l’impression, qu’il y a moins mais ça c’est possible que je me trompe. Sinon, j’ai pas vraiment…

Michel Godart: [00:03:10] Mais c’est bien, ce feedback est intéressant parce qu’on va se pencher à ce raisonnement-là et on va essayer de voir un peu qu’est-ce qui aura pu vous donner ce sentiment et y travailler…

Andréa Goldstein: [00:03:16] Et pour moi le seul aspect négatif c’est, une expérience que je ai vécue juste aujourd’hui, c’est qu’il y avait une salle où je voulais participer et avec un nombre maximum (Michel: Ouais), on ne pouvait pas participer à plus, et elle n’était pas refaite dans la journée (Michel: Ouais, ouais). Et surtout, il y avait rien qui annonçait qu’il n’y avait qu’un… J’aurais bien aimé qu’au moins ce soit écrit, ou expliqué au début dans les petites présentations des petits pitch, qu’on ne pouvait être qu’un certain nombre de personnes (Michel: Ouais). Alors bon, ça aurait peut-être fait un peu la ruée vers l’or mais (Michel: Un peu ouais, d’un côté) je me serais dépêchée pour aller voir (Michel: Non, ouais je comprends). Ou alors du moins quand c’est des réunions où il y a qu’un nombre, un petit nombre de personnes qu’ils le refassent deux fois ce serait bien!

Michel Godart: [00:03:51] J’ai un peu assisté à ce qui s’est passé, mais le succès était tel…

Andréa Goldstein: [00:03:54] Mais oui, il y a beaucoup de monde…

Michel Godart: [00:03:55] Il y a eu tellement de demandes qu’on a déjà fait un geste pour prendre plus de personnes que prévu mais ça génère cet effet (Andréa Goldstein: Voilà) pervers qui est de dire « Non, c’est plus possible, on ne peut pas rentrer dans… »

Andréa Goldstein: [00:04:03] Ben à la limite (Michel: Au-delàs de la sécurité) j’ai envie de dire c’est pas grave, maintenant il faut peut-être le dire quelque part que c’est un nombre limité.

Michel Godart: [00:04:07] Ouais, on va faire ça. C’est une très belle remarque, c’est une très belle (Andréa Goldstein: Ca, ce serait pas mal), une très belle remarque, on va retenir en rouge ça pour une prochaine édition. Alors maintenant qu’on a fait le feedback général de ce qui est bien et ce qui est moins bien, et merci pour la franchise et l’honnêteté, parce qu’une critique nous grandit tous et toutes. J’ai envie de vous demander: dans les ateliers auxquels vous avez assisté, les conférences ou la keynote, qu’est-ce qui vous a le plus marqué aujourd’hui? Est-ce qu’il y en a une qui ressort? Où vous vous dites « Oh là, j’ai vraiment eu mon petit effet Waouh, il y a des choses qui m’ont touchée ».

Andréa Goldstein: [00:04:32] Ben, j’ai beaucoup aimé une des présentations du tout début, je crois qu’il s’appelle Thomas (Michel: Thomas Gibot) voilà, après c’est peut-être la manière de (Michel: Sur la réalisation des rêves) oui voilà. C’est peut-être la manière aussi heu… (Michel: C’est quelqu’un de très passionné), voilà mais ça se sent (Michel: Et il a parlé de son parcours) mais il y a rien à faire, on le ressent. Et donc ça, c’était très, très, chouette. Ça, ça m’a marqué, mais après c’est toujours un peu personnel évidemment, c’est aussi un côté positif d’ici, c’est que je trouve que ça peut être appliqué autant dans le milieu professionnel que privé.

Michel Godart: [00:04:56] Absolument, ah oui clairement, clairement.

Andréa Goldstein: [00:04:57] Et moi souvent je sors aussi avec des outils pour l’appliquer dans le milieu privé (Michel: Rires surpris).

Michel Godart: [00:05:03] Vous êtes agile en privé (Andréa Goldstein: Voilà), ça c’est une belle anecdote!

Andréa Goldstein: [00:05:05] Voilà, je ne sais pas si c’est agile, mais c’est dans ce qui se passe et dans ce (Michel: Oui, clairement) que j’apprends. Notamment au niveau de ce côté, en tout cas pour Thomas, de rêver grand et que c’est vrai que je me rends, je me rends compte qu’on a souvent beaucoup… Enfin, on pense avec des contraintes préétablies dans notre tête. Donc il y avait ça, et après il y avait le dernier ici: « Dépasser ses limites (Michel: Oui) en 40 minutes » mais ça c’est vraiment, c’est aussi quand même personnel, c’est aussi… Ben voilà, des limites que, parfois il y a des choses qu’on sait au fond de soi, mais que tout d’un coup c’est comme si on venait de le découvrir, et donc (Michel: Ca me parle), c’est un peu, voilà, c’est un peu comme une lumière alors qu’on le sait… Et donc voilà (Michel: On s’y penchais pas assez) il y a eu, il y a eu un petit moment comme ça où tout d’un coup j’ai fait « Ah oui, mais moi en fait (Michel: Je me sens concernée…) c’est ça (Michel: Ouais), ou en tout cas, tout d’un coup j’ai découvert quelque chose mais ça c’était plus, plus personnel, mais voilà (Michel: Super!) Donc ça c’est, voilà, les deux…

Michel Godart: [00:05:59] Si vous deviez résumer dans votre travail, dans votre équipe, le niveau de maturité par rapport à l’agilité où vous en êtes? Pas des points hein mais juste voilà, dire voilà: on a des progrès encore à faire ou on est déjà bien avancés, on a une forte expérience, il y a des choses qu’on ne maîtrise pas… Vous auriez tendance à résumer ça comment? Pour vous personnellement, c’est (Andréa Goldstein: Ben, ce qu’il y a c’est que…) c’est une perception personnelle.

Andréa Goldstein: [00:06:20] Je ne suis pas sûr de bien connaître, ou de connaître suffisamment, qu’est-ce que c’est être agile que pour pouvoir vraiment donner un statut. Mais j’ai envie de dire que comparé, moi ça fait seulement quatre ans que je travaille au service des pensions et heu, je trouve qu’on a quand même pas mal évolué depuis. Et j’ai l’impression qu’on a mis longtemps à démarrer et que beaucoup s’est fait dans les dernières, enfin, la dernière année maintenant. Alors est ce que c’est parce qu’il y avait plus de changement? Aussi au niveau des gens qui sont venus travailler dans notre équipe? Mais je dirais qu’on est, ben je ne sais pas dire en fait, j’aurais envie de dire comme ça 6,5 – 7 sur 10?

Michel Godart: [00:06:58] Ouais pas mal (Andréa Goldstein: voilà), c’est pas mal ouais.

Andréa Goldstein: [00:06:59] Voilà. Mais je voilà (Michel: Super) après je ne sais pas très bien à quoi je compare parce que c’est (Michel: pas de souci) j’ai pas vraiment de point de comparaison.

Michel Godart: [00:07:06] Mais merci pour l’honnêteté et la franchise. Et j’ai une dernière question pour vous: vous auriez un message à donner à quelqu’un qui hésite s’il reviendrait l’année prochaine, ou si il viendrait pour la première fois l’année prochaine, en 2024, à la Journée Agile, vous auriez envie de lui dire quoi? Vous y reviendriez-vous?

Andréa Goldstein: [00:07:20] Moi je reviendrais, oui. J’aurais envie de lui demander pourquoi est-ce qu’il ne viendrait pas? Pour; pour savoir…

Michel Godart: [00:07:25] C’est une bonne façon de combler la question. En tout cas, je voudrais vous remercier pour la gentillesse du témoignage, pour le feedback honnête et authentique, c’est très important (Andréa Goldstein: Avec plaisir). Je l’ai dit, la critique nous grandit, on prend ça vraiment très au sérieux, il faut savoir regarder aussi nos erreurs pour grandir, ça fait partie de l’agilité d’ailleurs hein? On est en plein dedans, on est en plein dans le débat. Alors Andreas, un petit message quand même pour toi spécifique, sache que dans tous les podcasts que je vais publier par rapport aux enregistrements de cette journée, il y aura un texte qui présente ton intervention et ton feedback, et il y a un lien… Et les auditeurs peuvent cliquer sur ce lien et laisser un message vocal à ton intention (Andréa Goldstein: Ah bon?) ah ouais, si sérieux!

Andréa Goldstein: [00:07:55] Sur le site à la Journée Agile?

Michel Godart: [00:07:57] Non, donc en fait ils vont voir le podcast, peu importe où ils le trouvent, ils vont aller lire le texte du podcast et il y aura un lien. Et le lien arrive (Andréa Goldstein: Ah oui pour laisser un message) sur une page Vodio.fr qui est l’hébergeur (Andréa Goldstein: Ouais). On laisse un message vocal, on écoute avant de l’envoyer, on met son mail, donc du coup on sait qui l’envoie. Le message, s’il arrive tel quel, on te le transmet en privé, t’en fais ce que tu veux. Si maintenant la personne dit « Ah moi je veux bien que ma voix soit sur les réseaux sociaux » eh bien quand on vas poster le podcast sur les réseaux sociaux, en commentaire on mettra le lien et tu entendras la voix de la personne te parler et te dire « Bah bravo, merci, ça m’a inspiré. J’irai peut-être l’année prochaine grâce à toi » et voilà. Et c’est sympa pour échanger. Et c’est aussi une façon…

Andréa Goldstein: [00:08:28] Moi ça ne me dérange pas que ma voix soit sur les réseaux sociaux, ça ne me dérange pas

Michel Godart: [00:08:30] Parfait, ben écoute, voilà, c’est une belle façon de faire des échanges aussi. Merci pour ton temps et ta patience et à très bientôt.

Andréa Goldstein: [00:08:35] Au revoir (Michel: Au revoir)

Michel Godart: [00:08:51] Face à moi. J’ai le sourire et la bienveillance d’Aurore. Tu peux te présenter en quelques mots, rapidement.

Aurore Daoust: [00:08:55] Je suis Aurore Daoust, je travaille depuis à peu près deux ans chez « NSI Software & Services », qui est une société de consultance. Et depuis à peu près deux ans, deux ans et demi, j’exerce la fonction de « Scrum Master » (Michel: Ben voilà) chez différents clients, donc j’ai pu passer par la RTBF, entre autres. Actuellement, je suis en mission chez Actiris sur la refonte d’un site internet.

Michel Godart: [00:09:13] Ok, parfait. Alors, c’est ta première participation à la Journée Agile? (Aurore Daoust: Non) Non?

Aurore Daoust: [00:09:17] C’est la deuxième, (Michel: Deuxième) oui. Et je compte bien en avoir plusieurs après…

Michel Godart: [00:09:22] Ah tu anticipes mes questions, là, alors ça m’intéresse encore plus que jamais ton feedback. Parce que comme je l’ai dit, l’utilité de cette interview c’est de demander au public comment vous avez vécu cette journée, quels sont les points fun, et quelles sont les choses qu’on peut peut-être améliorer. Et puis surtout, quel est l’atelier qui vous a le plus marqué? Donc voilà, les trois questions sont lancées, je te laisse m’exprimer tout ce qui te passe par la tête et sur le cœur.

Aurore Daoust: [00:09:40] Et bien c’est parti! Globalement, j’ai tout apprécié, tout ce que j’ai pu suivre comme conférences, si je peux dire ça comme ça. Ce qui m’a vraiment le plus touché, c’est vraiment l’intervention de Thomas, Thomas Gibot (Michel: Il en a touché beaucoup avec ses rêves), il m’a beaucoup touchée, tant son histoire, que son expérience, que son parcours. Je crois que j’ai presque eu les poils qui se sont hérissés à certains moments parce que ça m’a beaucoup parlé. J’ai pu discuter avec lui et je lui ai d’ailleurs dit que j’avais vraiment encore plus l’espoir de pouvoir réaliser certains de mes rêves. Et je compte bien rester en contact avec lui pour le tenir au courant de l’avancée de mes rêves.

Michel Godart: [00:10:12] Waouh! Quel feedback (Aurore Daoust: Voilà) chouette! (Aurore Daoust: Ouais). Est-ce qu’il y a des choses qu’on devrait améliorer? Parce que t’as participé à deux éditions! Il y a des choses qui t’ont plus gênée ou des choses auxquelles tu te dis « Faites attention les gars à ça »?

Aurore Daoust: [00:10:21] Alors c’est vrai que je vais faire un parallélisme avec mon travail au quotidien, tout ce qu’on appelle les fameuses sessions de meetings, de réunions, que je compare un peu aux conférences ici. Ce qui est parfois compliqué, je trouve, c’est que ben forcément, les gens sont lancés dans des discussions, dans des échanges, il y a un système de questions-réponses aussi, et on a souvent tendance à déborder. Ce qui finalement, entre les sessions on a platement dit « même pas le temps de faire une pause pipi » ou juste de s’aérer l’esprit trois secondes à l’extérieur. Parce que c’est quand même très (Michel: Intense?) C’est très énergivore en terme de concentration, d’investissement vraiment cérébral en fait, dans ces genres d’échanges et de sessions. Donc pouvoir avoir peut être un temps, soit un peu plus long entre les sessions, ou s’assurer qu’il y a un vrai respect « timing pur », je pense que ça pourrait faciliter, et en tout cas améliorer, les prochaines Journées Agiles.

Michel Godart: [00:11:07] Merci pour l’honnêteté de ce feedback, c’est très constructif et instructif. On va faire attention à ça. On va un peu se pencher sur ces questionnements. Si tu devais donner un mot à quelqu’un pour qu’il nous rejoigne dans la journée Agile en 2024, t’aurais envie de dire quoi, comme élément motivateur?

Aurore Daoust: [00:11:21] Eh bien tout simplement, si je devais m’adresser aux gens en général, je dirais si vous avez envie de vous améliorer tant humainement que professionnellement, mais surtout humainement, et de pouvoir avoir des clés qui pourront vous aider au quotidien dans votre travail, c’est l’endroit à ne pas manquer. C’est un événement annuel et donc c’est l’occasion de s’améliorer presque quotidiennement, d’années en années, et de maintenir des liens et des contacts avec des gens hyper inspirants.

Michel Godart: [00:11:44] Tu as une estimation du niveau de la maturité agile au sein de ton entreprise? Tu l’estimerais comment? Avec un mot-clé, ou une quote, ou peu importe…

Aurore Daoust: [00:11:50] De ma société de consultance (Michel: Oui, oui) ou de mon client? C’est très compliqué à dire parce que c’est une boite qui a 30 ans, qui se développe un peu plus aujourd’hui dans l’agilité. D’ailleurs, on à bientôt une communauté agile qui va voir le jour tout doucement. Donc ça c’est quand même un très bon point. Mais je pense que la maturité agile pure, on est autour d’un deux ou trois sur cinq, pas plus…

Michel Godart: [00:12:06] Ok, donc il y a peut-être un besoin de se faire accompagner là?

Andréa Goldstein: [00:12:09] Ben il y a du travail, on est plusieurs, je dirais agilistes, et j’estime aujourd’hui en faire un peu partie aussi…

Michel Godart: [00:12:14] Vous êtes la meilleure ambassadrice de la démarche?

Aurore Daoust: [00:12:16] Non, enfin presque. J’ai un collègue coach (Michel: Oui) qui m’accompagne beaucoup aussi chez NSI, qui a proposé cette idée. Il a bataillé, il a travaillé là-dessus pendant des mois, et là maintenant on voit enfin le bout du tunnel, on va pouvoir se lancer. Donc on est déjà une petite équipe en interne, prête à mettre la main à la pâte et à parler agilité, à parler Scrum, à parler « serious game » et plein d’autres choses. Et je pense qu’on va vraiment encore pouvoir bien évoluer.

Michel Godart: [00:12:38] Et moi je suis particulièrement content parce que mon petit côté féministe fait que j’apprécie beaucoup d’avoir quelqu’un qui me dit au micro « Je suis une femme et je suis Scrum Master » Wow!

Aurore Daoust: [00:12:45] Ah moi j’adore

Michel Godart: [00:12:46] C’est classe

Aurore Daoust: [00:12:47] Je pense vraiment que j’ai trouvé ma voie, vraiment.

Michel Godart: [00:12:48] Alors c’est bien parce que tu vois, si tu cherches une adresse d’accompagnement pour l’agilité (Aurore Daoust: Yes) eh bien il y a Pyxis Technology (Aurore Daoust: Évidemment) parce que c’est « Pyxis – Le podcast » donc n’hésite pas (Aurore Daoust: Yes) contacte-nous. Moi je te remercie encore pour ce court feedback; les gens se sont mis à faire la file pour tous donner un feedback, donc (Aurore Daoust: C’est top) je vais devoir faire des petites capsules plus courtes. Mais je suis frustrée, j’ai envie d’en savoir plus. Donc on va sur ton site internet, c’est le site internet de la boîte c’est?

Aurore Daoust: [00:13:07] C’est NSI, alors tiret S.A. point be.

Michel Godart: [00:13:11] Ben voilà, comme ça on peut aller s’informer et les auditeurs et auditrices pourront laisser un message vocal à ton intention. Dans le texte du podcast, il y un lien, ils peuvent cliquer, s’enregistrer, te parler.

Aurore Daoust: [00:13:20] Ah trop cool! Ben merci beaucoup et bonne suite, et à l’année prochaine de toute façon!

Michel Godart: [00:13:24] Ca marche, à bientôt

Aurore Daoust: [00:13:26] Salut!

Michel Godart: [00:13:39] Un feedbacks c’est heu, on l’a vu, la culture du feedback dans un des ateliers, c’est le positif mais c’est aussi le négatif, ce qu’on peut améliorer. On peut s’autocritiquer et une critique, pour moi, c’est un cadeau qui nous permet de nous améliorer. Alors j’ai Yvain qui a accepté de venir jouer le jeu au micro avec moi. Donc d’abord merci Yvain

Yvain Stiennon: [00:13:55] Mais de rien. Bonjour à tout le monde!

Michel Godart: [00:13:57] Un petit mot de présentation, qui es-tu, tu bosses pour quelle boîte, qu’est-ce qui t’a motivé à venir à la Journée Agile?

Yvain Stiennon: [00:14:01] Alors je bosse pour une plateforme de rénovation énergétique qui s’appelle EN’Hestia donc on agit dans le domaine de la performance énergétique, des bâtiments notamment. Et ce qui m’a amené à venir ici, c’est simplement que dès le départ de la boîte, qui est quand même relativement jeune, je dirais un peu plus d’un an maintenant, eh bien on a intégré la logique ou le management de type Agile Scrum.

Michel Godart: [00:14:23] Directement.

Yvain Stiennon: [00:14:24] Voilà, nous c’est l’avantage évidemment que, ben il n’y a pas de passif derrière, on ne doit pas changer la logique de fonctionnement interne puisque c’est vraiment une toute nouvelle boîte quoi!

Michel Godart: [00:14:32] C’est natif, c’est dans l’ADN (Yvain Stiennon: Voilà) de la société (Yvain Stiennon: Exactement). Alors la motivation donc je la comprends bien, est-ce que c’est toutefois ta première participation à la journée Agile ou ce n’est pas la première?

Yvain Stiennon: [00:14:40] C’est la première

Michel Godart: [00:14:41] C’est la première. Alors du coup, bah le feedback il est super important parce qu’on dit toujours: « On n’a qu’une chance de faire la bonne première impression ou pas ». J’ai pas trop de doute sur ce qu’on fait, mais ça m’intéresse d’avoir ton ressenti. Comment tu as vécu ta journée, qu’est-ce que tu as bien aimé et qu’est-ce que tu trouves qu’on peut améliorer?

Yvain Stiennon: [00:14:56] J’ai tout bien aimé, ça c’est pour les points positifs, mais non, moi je suis généralement positif de toute façon. Mais effectivement, je trouve ça super intéressant parce qu’il y a eu plusieurs regards finalement, je dirais un peu, je vais dire ben divergents et convergents sur le mode de fonctionnement des entreprises. Et le mode de fonctionnement finalement, au travail, de comment est-ce qu’on peut finalement, je dirais, être bienveillant au sein d’une entreprise et pas se retrouver dans un système où finalement on génère du stress. Parce que je pense que c’est ça l’important à l’heure actuelle pour les entreprises. Parce que bon, évidemment, il faut bien se rendre compte que nous qui travaillons, ben on passe plus de temps dans l’entreprise qu’avec notre famille ou que dans les loisirs. Et donc, si à un moment donné on génère du stress en entreprise, ben c’est là qu’on peut avoir des graves dommages psychologiques et éventuellement physiques quoi.

Michel Godart: [00:15:48] Ouais et puis on voit la quantité de burnout qui est en explosion (Yvain Stiennon: Tout à fait), c’est interpellant quand même (Yvain Stiennon: Bien sûr; bien sûr). Il y a quand même un changement de paradigme censé interroger nos sens (Yvain Stiennon: Oui), et nos sens au travail j’ai envie de dire (Yvain Stiennon: Oui). Et d’ailleurs les Burnie font souvent des recherches de sens!

Yvain Stiennon: [00:16:01] Et moi à titre personnel en fait, parce que je travaille là depuis le début de la société, avant j’étais indépendant pendant 20 ans. Donc ça veut dire que, au niveau de la logique de management, je ne voulais pas atterrir dans une boîte qui était totalement hiérarchisée, où j’aurais été enfermé dans un mode de fonctionnement. En tant qu’indépendant, ben un des gros avantages finalement c’est que: ben on fait ce qu’on veut. Enfin, on ne fait pas exactement ce qu’on veut mais en tout cas, je vais dire, on est libre de ses horaires, de ce qu’on met en priorité, de finalement ses interventions au niveau du boulot… Et ici, ben je vais dire, je retrouve un peu le même type de logique, finalement, mais en étant dans une boîte, dans une entreprise, avec effectivement des interactions avec d’autres membres du personnel, etc. Et finalement un peu plus de soutien. Parce que bon, le problème de l’indépendance, c’est de se retrouver seul (Michel: Soutenu, ouais) et donc dans le COVID ça a été un peu (Michel: Pénible?) compliqué.

Michel Godart: [00:16:53] Ouais, ça je peux, je peux dire que ça a touché beaucoup de gens (Yvain Stiennon: Ouais), on ne peut pas, on ne peut pas se voiler la face là-dessus. Dans cette journée agile, si on devait améliorer des choses, tu nous lancerais quel message, Yvain?

Yvain Stiennon: [00:17:02] Alors j’ai adoré tous les ateliers auxquels j’ai participé mais, après évidemment on est limité par le format hein? Mais 50 minutes, par atelier, enfin j’ai participé à des ateliers de 50 minutes, c’est vraiment très court quoi hein? (Michel: Oui). On n’a pas vraiment le temps d’approfondir, c’est vraiment très, très, superficiel. Bon, il y a des choses où ça se passe bien, notamment dans les petits ateliers à 20 à 25 personnes. Parce que là on peut être vraiment interactif, mais quand il s’agit de donner l’information quand il y a une centaine de personnes… Quand on était dans les salles polyvalentes ou l’auditorium, ben (Michel: C’est plus compliqué là!) 50 minutes, ben on reste à un niveau, à mon sens, trop superficiel mais bon… Après je veux dire, c’est peut-être simplement que ça ouvre des portes. Ça c’est la vision positive des choses quand même, ça ouvre des portes et ça permet de dire « Ah bah oui, tiens là ça m’intéresse, je vais me renseigner, je vais acheter un livre, je vais éventuellement (Michel: Ou je me fais accompagner, ou voilà…) contacter, contacter le speaker pour essayer d’approfondir le sujet, etc quoi!

Michel Godart: [00:17:56] La Journée Agile a été cocréée par Normand et Pierre-Emmanuel, qui sont aussi les cocréateurs de « Pyxis Belgique », qui accompagne en agilité. Donc clairement, c’est clair que ça peut amener à un questionnement et à se dire « Ben tiens, accompagnez nous, on va faire le chemin ensemble » hein (Yvain Stiennon: Oui)? C’est une stimulation aussi hein (Yvain Stiennon: Oui, bien sûr). Maintenant c’est vrai que le but est de partager, c’est très important, et on va tenir compte de cette remarque d’aller peut-être plus loin dans certains ateliers, et notamment pour ceux que tu précises. Est-ce que dans les ateliers que tu as vécu aujourd’hui, tu as eu un effet waouh ou des choses tu te dis Ah là j’ai appris quelque chose!

Yvain Stiennon: [00:18:23] Ben, en fait le premier atelier auquel j’ai participé j’ai vraiment, c’était sur l’intelligence collective avec Isabelle de Brabandere. Et là c’était vraiment bien amené, je veux dire qu’elle a présenté un outil qui était super simple à mettre en place. Et donc ben je pense qu’on va, je veux dire moi je suis « Scrum Master » hein au niveau d’EN’Hestia. Et donc à mon avis on l’implémentera assez facilement et c’est (Michel: Ah c’est bien!!) ça peut être intéressant de le mettre en place.

Michel Godart: [00:18:52] Ah elle va être contente d’entendre ça, elle a eu un impact positif.

Yvain Stiennon: [00:18:55] Ah bah oui, oui! Elle, elle l’a présenté sous forme client, consultants, ou équipes, mais je pense que ça peut s’adapter finalement aux problèmes internes à la boîte ou en tout cas aux décisions qu’on doit faire au sein d’une boite ou aux réflexions qu’on doit avoir concernant les produits qu’on propose ou ce genre de choses quoi!

Michel Godart: [00:19:13] Super! Je crois qu’elle va être vraiment être très enchantée d’entendre ce genre de choses. Est-ce qu’il y a d’autres intervenants qui t’ont marquée ou interpellé?

Yvain Stiennon: [00:19:20] Eh bien l’atelier de Patrick Van Est concernant: ben comment dire à un collègue qu’il a une haleine de poney (Rires).

Michel Godart: [00:19:26] C’est la culture du feedback (Yvain Stiennon: Voilà), on est en plein dedans là (Yvain Stiennon: Exactement), on est dans un échange de feedback (Yvain Stiennon: Exactement).

Yvain Stiennon: [00:19:31] Et donc, ça je trouve ça super important au sein d’une boite, ou d’une entreprise.

Michel Godart: [00:19:37] C’est difficile le feedback?

Yvain Stiennon: [00:19:39] Bah on a souvent une appréhension à faire, enfin personnellement en tout cas, une appréhension à faire un feedback disons négatif (Michel: On a peur de blesser?). Voilà, c’est ça, exactement, on a peur de blesser. Mais là, il nous a donné un petit outil qui est relativement simple également à mettre en place et qui permet de cadrer les choses, et surtout de les relativiser. Je veux dire étant donné que finalement ce feedback qu’on pourrait dire négatif, peut-être effectivement vu comme étant un feedback évolutif comme il le dit lui-même quoi et donc ça c’est intéressant. Et puis l’autre élément super intéressant qu’on a appris, mais qu’on pratique déjà chez EN’Hestia, c’est le feedback positif. Dans le sens où, dans la méthode agile on a aussi des petites cartes entre guillemets qu’on donne finalement à nos collègues en disant « Ben tiens voilà, là j’ai adoré ce que tu as fait, etc ». Donc au niveau feedback positif on est déjà dans cette démarche-là. Maintenant, on est peut-être un peu moins attentif au feedback, que je dirais évolutif, parce que c’est finalement ça qui fait le fond de l’évolution de la société et donc c’est super important quoi! (Michel: Et c’est la partie la plus délicate à traiter, ouais). Et c’est la partie la plus délicate à traiter, donc forcément on va plus vers les choses, disons faciles à mettre en place (Michel: Ah ouais, c’est l’humain hein?) c’est vrai que c’est l’humain, plutôt que d’aller vers quelque chose d’un peu plus « touchy ». Je veux dire, où effectivement les émotions risquent de prendre le dessus parce qu’évidemment on est dans du négatif entre guillemets, avec des gros guillemets, et les gens quelquefois le prennent pour eux. Ils croient que c’est une attaque personnelle hein, je veux dire: ils le prennent comme une remise en cause de ce qu’ils sont, alors que ce qu’on essaye de faire par ce feedback évolutif (Michel: C’est les grandir), c’est justement de les grandir et de leur montrer, tiens, quels seraient les moyens justement, qu’on puisse améliorer les choses, pour que toi tu se sente mieux. Que tes collègues aussi puissent mieux interagir, à la limite, avec toi et que finalement au niveau société, au niveau de l’entreprise elle-même, finalement on délivre des produits qui soient meilleurs. Puisque c’est finalement ça le…

Michel Godart: [00:21:32] Je suis frustré parce que moi je n’ai pas pu participer à cette session-là, vu que je suis mon rôle ici au micro d’enregistrer (Yvain Stiennon: Ben oui, hè, hè). Mais moi je me suis dit, ça me parlait parce que moi je me suis dit: souvent ce que je fais, c’est j’essaie de m’imaginer, quand je donne un feedback, « Et si j’étais à la place de la personne? Et si j’entends ces mots dans la bouche d’une autre personne vers moi? ». Et ça, parfois ça m’aide moi personnellement… (Yvain Stiennon:  Bien sûr, bien sûr, oui, oui, oui) ça c’est peut être un truc, je sais pas s’il l’a dit, mais heu….

Yvain Stiennon: [00:21:53] Ben, il y a ça, et puis dissocier tout ce qui est factuel et émotionnel évidemment (Michel: Ah oui, clairement). Je veux dire « Ok, on dit les faits, ce qu’on trouve qui effectivement ne fonctionne pas bien », objectivement finalement, c’est l’objectivité. Puis dire, ben évidemment dans un feedback ben on dit « Ben tiens, ça, ça me gêne » ou je vais dire « Je me sens mal par rapport à ce type de fonctionnement », je veux dire « Ou la boîte se sent mal, ou ça pose un problème, etc. », ça c’est de l’émotionnel. Et puis après on recherche les solutions quoi. Mais effectivement, je veux dire: bien dissocier les deux je pense que, ben c’est un travail aussi, je ne dis pas que c’est facile hein? (Michel: Non on est d’accord) Je vais dire que ça a l’air facile quand on voit la théorie en 40 minutes comme ça, ça a l’air génial quoi, enfin après (Michel: Après il faut encore la mise en pratique) c’est génial en soi mais il faut la mise en pratique, ça il faut du temps à mon avis.

Michel Godart: [00:22:34] Alors Yvain, on va clôturer tout doucement cette interview, je vais te demander un dernier mot: si tu devais être mon ambassadeur pour la prochaine Journée Agile en 2024, quelqu’un qui nous découvre, tu lui dirais quoi pour qu’il vienne nous rejoindre et s’amuser avec nous?

Yvain Stiennon: [00:22:45] Ah ben il faut absolument venir, il y a des ateliers qui sont géniaux, les speakers alors là c’est… (Michel: Les émotions au top) terrible! Ouais, voilà.

Michel Godart: [00:22:53] Allez, c’est cool. Mille merci pour ce feedback et sache que les auditeurs pourront te donner un retour aussi!

Yvain Stiennon: [00:22:57] C’est génial! Mille merci!

Michel Godart: [00:23:03] Face à moi j’ai Jean-Michel

Jean-Michel Ketelslegers: [00:23:15] Tout à fait.

Michel Godart: [00:23:16] Merci, Jean-Michel d’abord. Alors, je vais te demander de me dire rapidement, en quelques mots, qui tu es et quelles société tu représentes?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:23:22] Et bien voilà donc, Jean-Michel, je travaille pour une entreprise qui s’appelle « 5th Floor », qui a cinq ans, donc qui est assez jeune et qui fait de la production de softwares,  essentiellement dans le domaine du secteur public. Je suis dans un rôle plutôt d’analyste, voire de Product Owner. Et alors l’agilité c’est vraiment un, une des pierre angulaire de l’entreprise. C’est vraiment un…

Michel Godart: [00:23:46] Vous êtes déjà dans l’agilité, actifs dans une démarche agile?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:23:49] Oui, oui, oui, tout à fait. Donc je veux dire, dès le moment où la boîte a été fondée c’était un élément de base. On partait de faire du développement avec une méthodologie agile et heu…

Michel Godart: [00:23:57] Ça parait assez évident en fait, hein (Jean-Michel Ketelslegers: Voilà, oui tout à fait) mais peut-être pas pour tout le monde.

Jean-Michel Ketelslegers: [00:24:01] Non, non, non, mais c’est vrai, et puis bon on venait tous un peu d’expériences où on avait déjà pratiqué, où parfois c’était difficile de le mettre en œuvre et donc c’était, en tout cas au départ de la boîte, un élément de pouvoir le… Pratiquer l’agile comme on avait envie de le développer quoi!

Michel Godart: [00:24:16] Après ces quelques années, si je te demander de me dire quel est le niveau de maturité d’agilité que vous avez au sein de l’entreprise, tu l’estimerez comment? T’es pas obligé de me donner une cote, tu peux me donner un mot, un synonyme, un symbole? Qu’est-ce qui te vient à l’esprit quand on te pose cette question?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:24:29] Je dirais: toujours convaincu.

Michel Godart: [00:24:31] D’accord, (Jean-Michel Ketelslegers: Voilà) ça c’est essentiel (Jean-Michel Ketelslegers: Et donc…), il n’y a pas de regret?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:24:34] Non, pas de regret. Et alors simplicité dans les fondements de l’agilité. Et puis après parfois complexité dans la mise en œuvre.

Michel Godart: [00:24:41] Et qu’est-ce qui manquerait pour améliorer la chose encore?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:24:44] Qu’est ce qui manquerait? Je pense, la seule chose qui aide pour évoluer, c’est la pratique et faire des expériences!

Michel Godart: [00:24:50] Des nouvelles approches? Différentes?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:24:51] De nouvelles approches. Et c’est clairement ça que nous on vient chercher ici (Michel: Là tu réponds à ma question suivante c’est pourquoi étiez-vous venus), voilà heu… Et donc heu… Et on est venu à plusieurs hein? Donc heu (Michel: Ouais). Et c’est, pour moi des journées comme ici, c’est vraiment une manière de venir collecter justement d’autres expériences, des outils, des pistes à explorer, voilà. Et qu’on peut vraiment essayer de mettre en pratique… Voilà, on est vendredi, donc dès la semaine prochaine (Michel: « Let’s go ») let’s go, et des choses petites ou grandes mais voilà, et de les tester, et de continuer à faire évoluer un peu le mindset, la boîte à outils et…

Michel Godart: [00:25:31] C’est la première fois que vous venez à cette journée agile?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:25:33] C’est la première fois qu’on vient à cette journée agile (Michel: D’accord), oui, tout à fait. Après, moi j’ai eu l’occasion de suivre des formations qui sont orientées sur l’agilité, ou d’assister à d’autres conférences, mais ici, c’était une première. Enfin voilà, on a eu échos de l’existence et on s’est dit tiens, c’est intéressant, le programme a l’air vraiment alléchant et donc heu…

Michel Godart: [00:25:52] Oui, il y a quelque titre de programme provocateur aussi!

Jean-Michel Ketelslegers: [00:25:54] Aussi, oui, ça a été remarqué directement. Et donc voilà, on s’est dit voilà, c’est une bonne idée de venir voir une première fois, voilà.

Michel Godart: [00:26:01] Il est 16 h 38, ça veut dire (Jean-Michel Ketelslegers: Oui) qu’il y a eu quand même pas mal de conférences qui ont lieu, là on est tout doucement vers la clôture de la journée. Si vous deviez faire un bilan? Si tu devais faire un bilan de cette expérience, de cette journée, il serait positif?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:26:12] Oui, Pour moi, le bilan est vraiment positif, ouais

Michel Godart: [00:26:14] Il y a des points à améliorer, des points que t’as vachement apprécié, des choses qui t’ont « Wow », un effet wow ou pas?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:26:19] Alors les points que j’ai apprécié, j’ai participé à pas mal d’ateliers un peu collaboratifs et ça, franchement, c’était très intéressant parce que du coup c’est dynamique. Et alors les messages qu’on essaye de faire passer à ces ateliers restent mieux, sont plus vivants. Et donc ça, franchement, je trouve ça intéressant, plus que parfois des conférences où on s’est assis en écoute, donc ça c’est le côté, franchement, que moi j’ai vécu, que j’ai apprécié. Pas grand-chose à redire de négatif, parfois, peut être juste: justement dans ces ateliers collaboratifs, les salles ne s’y prêtent pas toujours, elles sont parfois un peu bruyantes, donc peut-être l’environnement qui pourrait être plus propice à ce genre de choses, mais sinon non, voilà!

Michel Godart: [00:26:56] C’est pas la grosse, grosse gêne quoi!

Jean-Michel Ketelslegers: [00:26:58] Non, non, non, non. Et en tout cas moi j’ai passé une bonne journée, elle est passée à une vitesse vraiment rapide, voilà.

Michel Godart: [00:27:03] Vous allez y revenir à cette journée agile?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:27:05] Oui, moi je vais rester au courant et… Enfin voilà!

Michel Godart: [00:27:07] Enfin, je dis « vous » pour la société hein? Puisque vous êtes plusieurs! Donc je me dis tiens, est-ce qu’ils vont…

Jean-Michel Ketelslegers: [00:27:10] Oui en tout cas même à titre, à titre personnel (Michel: Aussi?), moi ça, ça m’intéresse. Et donc oui, on va certainement rester au courant.

Michel Godart: [00:27:16] Si tu devais donner un message à quelqu’un qui nous écoute pour lui dire (Jean-Michel Ketelslegers: Oui) « Bah ça vaut la peine d’y aller, vas-y l’année prochaine », tu lui dirais quoi?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:27:23] Et bien je dirais que voilà, justement le côté agile c’est rester ouvert, et que donc une journée comme ici on apprend des choses, toujours, et que voilà c’est vraiment pas du temps gaspillé, c’est, on y va pour apprendre, voilà.

Michel Godart: [00:27:35] J’ai une question encore, tu sais que chez Pyxis on accompagne les entreprises, en dehors de la Journée Agile. Les fondateurs de la Journée Agile sont aussi les fondateurs de Pyxis Belgique. On fait aussi de l’accompagnement dans les sociétés et parfois du Gaming. Et je me posais la question, on a un fan chez nous du jeu, qui s’appelle Eric Decossaux, je lui fais un petit clin d’œil parce qu’il nous écoute bien évidemment en tant que membre de l’équipe, il est abonné aux podcasts bien entendu. Est-ce que vous faites aussi parfois du Gaming pour favoriser les échanges chez vous, dans votre société, dans vos structures? Vous avez cette culture de la ludothèque aussi déjà?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:28:02] Oui, c’est des choses qu’on fait. Intégrer le Gaming dans des cérémonies Scrum comme les rétrospectives, ou même parfois pour réfléchir sur des besoins, etc. Oui, ce sont des choses qu’on fait, qu’on aime cultiver, tout à fait.

Michel Godart: [00:28:16] On aura peut-être, à l’occasion encore, des ateliers où Eric partagera sa passion aussi des jeux, dans des conférences et des événements, et je t’invite à t’y pencher. Tu regarderas quand Eric Decossaux intervient, c’est vraiment un vrai passionné aussi (Jean-Michel Ketelslegers: D’accord, avec plaisir), je te recommande. En tout cas, moi je voulais te remercier Jean-Michel pour ce superbe témoignage, cette franchise et cette honnêteté, ce temps que tu me donnes qui est un cadeau pour moi. Merci pour ça. J’ai envie de te renvoyer l’ascenseur en te faisant un petit cadeau à ma façon, c’est de te dire: ben tiens, si on donnait l’URL de ta société pour qu’on invite les auditeurs et auditrices à s’intéresser à ce que vous faites? Et qui sait, ça te rapportera peut être quelques clients ou quelques prospects?

Jean-Michel Ketelslegers: [00:28:47] Tout à fait. Et donc voilà, c’est 5th Floor .eu, cinq th floor .eu

Michel Godart: [00:28:53] C’est bien de préciser sinon on aurait pu se confondre sur l’URL. Je te remercie beaucoup Jean-Michel, je te laisse continuer (Jean-Michel Ketelslegers: Merci à toi) à te diriger vers la clôture et vers les prochaines interventions qui sont en train de se mettre en place, et les échanges. Et à très bientôt! Et puis abonne toi au podcast!

Jean-Michel Ketelslegers: [00:29:05] Avec plaisir!

Michel Godart: [00:29:06] À bientôt, au revoir.

Jean-Michel Ketelslegers: [00:29:06] Au revoir.

Michel Godart: [00:29:20] Jean-noël pour me partager son vécu de la Journée Agile. Mais j’ai envie de te poser une question Jean-Noël d’abord, est-ce que c’était ta première fois à la journée Agile?

Jean-Noël Collin: [00:29:28] Bonjour. Non, non, je suis déjà venu plusieurs fois aux Journées Agile organisées par Pyxis.

Michel Godart: [00:29:34] Donc ça veut dire que tu apprécies suffisamment que pour revenir?

Jean-Noël Collin: [00:29:38] Oui, tout à fait.

Michel Godart: [00:29:38] Tu peux nous toucher un mot de la société pour qui tu travailles et peut être aussi nous dire tiens, au niveau agilité, où est-ce que vous en êtes?

Jean-Noël Collin: [00:29:44] Oui, donc je travaille pour la société Wavenet, basée en  Leuze-en-Hainaut, société de consultance en informatique. On est répartis chez des clients donc la maturité de l’agilité chez les clients dépend des clients. Et pour des projets en interne, en fait on travaille en Scrum avec des équipes de développement, des Scrum Master et des P.O.

Michel Godart: [00:30:00] Qu’est-ce qui vous a motivé à venir et à revenir à ces Journées Agiles?

Jean-Noël Collin: [00:30:03] En fait ce qui motive c’est la diversité des sujets traités, la qualité de ceux-ci et surtout de la networking. Et de voir la bienveillance de tout un chacun durant toute la journée.

Michel Godart: [00:30:13] Ah ça c’est un mot qui fait plaisir à entendre. La bienveillance, c’est important hein? (Jean-Noël Collin:  Oui, oui). Si tu devais donner un point fort et puis surtout aussi, ben il faut l’écouter aussi, il faut les prendre, un points faibles, une chose à améliorer, tu nous dirais quoi?

Jean-Noël Collin: [00:30:26] Pour le point fort je pense que l’expérience de l’organisation depuis toutes ces années fait que, ben c’est super pro quoi en fait

Michel Godart: [00:30:34] On sent que c’est cadré.

Jean-Noël Collin: [00:30:34] Oui, voilà. Le timing, même, c’est réglé, Les bénévoles qui font un travail vraiment formidable (Michel: Et on les remercies, ouais, clairement) avec le sourire, donc tout ça c’est vraiment chouette. Et en fait le point faible, moi je n’en vois pas spécialement. Ce qu’il y a c’est que, souvent, dans certaines sessions, le niveau des gens, il est totalement opposé, il y a des extrêmes. Des gens qui n’ont jamais entendu parler du sujet avec des gens qui le maîtrisent peut-être déjà. Donc de temps en temps ça peut porter à la déception quand on participe à une session, parce que on se rend compte que, ben on n’est pas… Soit on comprend rien ou a contrario on se dit mais tout ça je le connaissais déjà.

Michel Godart: [00:31:04] Pour comprendre aussi la démarche, bah il y a des gens qui à un moment donné vont dire je vais me lancer, je veux aussi donner un feedback sur mon vécu, mon expérience et qui sont motivés, je crois que c’est un cadeau aussi, en soi (Jean-Noël Collin: Tout à fait oui). Même si parfois ça peut être un peu plus différent par rapport à ce qu’on a l’habitude d’avoir. Et je pense que ça fait partie de la richesse et de la variété. Ok, super, ça c’est déjà très bien, est-ce qu’il y a un atelier auquel tu as participé où tu t’es dit « Wow », cette année j’ai appris quelque chose? Ou j’ai eu mon effet « Wow », ça m’a touché au cœur!

Jean-Noël Collin: [00:31:27] Ouais, la Keynote de Thomas.

Michel Godart: [00:31:28] Ah ouais, ça j’entends beaucoup, beaucoup, beaucoup, quoi… C’est les rêves, on touche l’âme des gens.

Jean-Noël Collin: [00:31:33] Et surtout la manière dont il a présenté en fait

Michel Godart: [00:31:35] J’ai encore les émotions (Jean-Noël Collin: Ouais, moi aussi), même si j’ai faits son interview hier, tu imagines? Ça m’a touché, mais waouh quoi! Ce mec il est inspirant, s’il nous entend, il sera content!

Jean-Noël Collin: [00:31:45] Je suis un peu déçu de pas avoir gagné son livre en fait, je vais le commander, c’est certain.

Michel Godart: [00:31:48] Tu n’es pas un des seuls à me donner ce feedback et je ne suis même pas étonné du tout. Quand on connait la personne, ça ne veut pas dire que les autres, pour autant c’est pas bien (Jean-Noël Collin: Oui). C’est que là c’était très fort dans l’émotif (Jean-Noël Collin: Oui, exactement), dans le personnel et ça touche tout le monde je pense, au quotidien. Mais dans d’autres ateliers il y a eu d’autres choses qui ont été abordées, parfois avec un aspect provocateur hein? Est-ce qu’il y a d’autres ateliers qui t’ont aussi marqué, où tu t’es dit « J’ai appris des choses importantes aujourd’hui »?

Jean-Noël Collin: [00:32:07] Par l’apprentissage non parce que je me suis rendu compte, voilà, de mon niveau actuel et voilà donc. Mais le partage par contre le fait, l’atelier de feedback était vraiment très chouette je trouve.

Michel Godart: [00:32:17] Et tu le mets en pratique du coup?

Jean-Noël Collin: [00:32:18] Exactement. D’ailleurs, si l’animateur de la session m’entend, je venais de monter dans ma voiture et je me suis dit c’est trop bête et je reviens donner un feedback.

Michel Godart: [00:32:25] Waouh! Sympa! Pour lui?

Jean-Noël Collin: [00:32:27] Ben pas pour lui, pour tout le monde en fait (Michel: Ouais), ce c’est vraiment trop, comme il faisait l’analogie avec un boulanger qui fait ses petits pains tous les samedis et auxquels on va les chercher. Si on ne lui dit pas, un jour il va se dire « Pourquoi je le fais? » et donc heu (Michel: Ah j’aime bien cette approche) le message ici il est: il ne faut pas arrêter de faire la journée!

Michel Godart: [00:32:41] J’aime bien cette approche, je vais le retenir ça, je vais vraiment le retenir. Alors si tu veux un jour être mon ambassadeur, d’un instant, pour dire à d’autres personnes rejoignez-nous, venez-vous amuser avec nous l’année prochaine à la journée agile, tu dirais quoi aux gens pour qu’ils viennent?

Jean-Noël Collin: [00:32:54] Mais c’est comme la première fois à laquelle j’ai participé il y a quelques années. En fait, c’est ce que tu disais tantôt, il y a des premières fois, il faut se lancer, il faut essayer. J’étais un petit peu dans un monde d’extraterrestre, parce que moi je débutais, j’étais vraiment à un niveau assez bas, mais il y a tellement de bienveillance, c’est tellement de partage d’expérience, c’est, c’est juste fantastique.

Michel Godart: [00:33:12] Tu vas y revenir alors? (Jean-Noël Collin: Oui, oui, oui) Je te revois l’année prochaine?

Jean-Noël Collin: [00:33:15] Oui, je vais essayer d’aller commander un des 50 tickets en early hour event!

Michel Godart: [00:33:18] Rires – Alors on est un peu victime de notre succès mais c’est un signal hein? Je crois que c’est un signal qu’il y a une attente et des besoins très forts dans la société. Et comme tu l’as dit, il y a des échelons de maturité différents en fonction de tes clients ou même au sein de l’organisation, au centre où on travaille donc voilà, c’est assez riche. Super! Merci pour ce chouette feedback. Sache aussi que les auditeurs et auditrices peuvent te donner un message en direct en allant dans le podcast. En texte descriptif, il y a un lien vers un voicemail, on laisse un message vocal, on te le communique. Alors si on ne dit pas que je peux utiliser la voix pour les réseaux sociaux, je te l’enverrai en privé, tu réponds en privé. Si maintenant la personne dit dans son message vocal « Mais moi je veux bien qu’on partage sur les réseaux sociaux », ce lien du voicemail je le mets en commentaire du podcast quand je le publie. Et quand tu cliques dessus, toi Jean-Noël, tu pourras entendre la personne qui te parle en direct et si tu veux y répondre, tu fais le même chemin, tu vas dans le podcast, tu suis le lien, tu enregistres ta voix, tu l’envoies. Je donne mon commentaire et la personne a sa réponse, c’est magique parce que c’est interactif.

Jean-Noël Collin: [00:34:07] Merci!

Michel Godart: [00:34:08] Je propose que vous vous abonniez tous au podcast, ne manquez pas les prochaines émissions, c’est le meilleur moyen, c’est de vous abonner. Il y a plein d’applications podcast qui existent pour smartphone! Et puis on se retrouve l’année prochaine Jean-noël!

Jean-Noël Collin: [00:34:17] Oui, merci beaucoup

Via Blubrry :
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